dimanche 27 juillet 2008

iPhone : high fun ?

Je ne prends pas le temps de présenter l'iPhone, tous le monde connait ce téléphone qui révolutionne pas mal de chose, au moins en terme de marketing. C'est donc après que l'équipe de travail dans laquelle je suis à travailler sur le développement d'application pour ce fameux téléphone que je me permet d'en donner mon ressenti.

Les points fort :

  • ça se vend. L'élément peut paraître étonnant puisqu'il est censé découler du reste, mais c'est vrai que ce qu'il faut retenir du développement d'applications sur iPhone c'est que ça s'appuie sur un super marketing. Les raisons de ce carton : la formidable machine à vendre qu'est iTunes et son store, ce petit logiciel qui vous permet d'acheter et d'avoir instantanément le contenu sur votre iPhone. C'est un avantage que n'ont pas les autres plateformes.
  • le rendu des applications est vraiment sympa. Les librairies graphiques vous permettre d'avoir des applications parfaitement intégrées à l'iPhone.

Les points faibles :
  • La pomme, vous savez l'emblème de cette firme négationniste qui a pour slogan "Think different", c'est clair que pour supporter leur politique propriétaire il faut envisager les choses sous un angle particulier.
  • En effet, le iPhone SDK est sous un accord de non-divulgation (NDA), en clair une fois que vous avez accepté la licence, l'iPhone devient secret défense : interdiction d'en parler. Ce n'est pas pratique pour communiquer entre développeurs, publier un livre ou autre... Tout cela est interdit.
  • De la même manière impossible de développer pour iPhone avec des vrais outils (genre Eclipse) et ailleurs que sur Leopard. Vous utiliserez donc XCode, l'EDI qui vous fera faire des cauchemards. Un manque d'outils impressionant pour vous permettre de devenir fous...

Petit détail marrant : le fanatisme des mecs qui passent derrière un écran, voient un iPhone et vont parlé au développeur qui est devant cet écran comme s'il était le messie.


Et si ?

Et si on pouvait croire encore dans la sincérité ?
Si lorsque j'en vois un tendre la main,
je ne savais pas qu'il n'en pensait rien.
Est-ce que je pourrais encore rêver ?
Un tel jeu de dupes me tourne la tête.
La crédulité ne me fait pourtant pas défaut,
Pour ne pas risque de porter des soupçons faux.
J'en suis toujours dépité quand l'illusion s'arrête.


jeudi 24 juillet 2008

Une ovation Xavier Niel

A propos de la taxation financant les chaines publiques et lu sur PC impact :

« Il n'y a rien de plus injuste. C'est une prime au mauvais. En France, on ponctionne les secteurs qui marchent au profit de ceux qui peinent. C'est bizarre, venant d'un libéral comme notre président. On n'a pas eu le courage d'augmenter la redevance, mais ce sont bien les consommateurs qui paieront, avec l'illusion que ce n'est pas l'État qui ponctionne »


Les jaunes rouges n'aimeraient pas les noirs

Pas facile de se documenter sur l'information que j'ai lu au détour d'un blog plus ou moins interressant, mais la rumeur court : "Les noirs et les autres populations socialement indésirables n'auraient plus le droit d'entrer dans les bars de Beijing"...

Ce qui est pour le moins étonnant c'est que même une structure comme LCI ne relaye pas l'info, consignes ?

Les deux articles corrects que j'ai pu trouver sont sur Aujourd'hui la Chine
et au Courrier International, ailleurs : le néant... Un tel silence de la part des médias traditionnels est éloquent par lui-même du malaise provoqué par l'info. On a la net impression que quelques semaines auparavant, la Chine faisait le dos rond pour appaiser entre autre sur la question tibétaines et, aujourd'hui c'est les grands préparatifs. C'est du fascime qui s'épanouit et une teinte de racisme ne m'étonnerait pas plus que ça.

L'objectif de la Chine c'est de montrer un pays qui marche droit, qui donne envie. Ca fait du boulot : on commence par interdire les artistes (LCI) pas tous naturellement, juste ceux qui auront un jour donner un avis différent d'un jolie : "le Dalaï Lama est un terroriste, la Chine aime les droit de l'homme et personne ne conteste sa puissance".

Si je ne suivrais pas les JOs en eux-mêmes, je jetterais néanmois un oeil attentif à l'actualité qui les entourera. Je pense que cela vaudra le coup.


dimanche 20 juillet 2008

La communauté : ses forces et ses risques

Aujourd'hui et particulièrement dans le domaine de l'informatique, de nombreux projets implique une communauté dans leur développement. C'est le cas de la plus part des logiciels libres.

D'abord comment peut-on définir la communauté de ce type de développement. Je dirais que c'est un regroupement de personne se reconnaissant entres elles à travers leur participation au projet de manière bénévole (ce qui n'implique pas désintéressé). Cette même participation peut avoir lieu à plusieurs niveau, par exemple pour des projets logiciels :

  • Conception et développement du logiciel ;
  • Assistance aux utilisateurs.
L'avantage de ces communautés n'est plus à prouver : c'est la que repose le succès de certains projets open-source ou d'une application à destination des développeurs. En effet, la communauté offre une force de travail gratuite ou quasiment. Néanmoins l'hétérogénéité de cette main d'oeuvre implique de mettre en place un certain nombre de mécanismes permettant de mesurer la pertinence des contributions. Un exemple flagrant de ce développement de validation est wikipedia où tout un staff permet de garantir un contenu de qualité.

Oui mais jusqu'où va se paradis... C'est en voulant référencer un jeu servant d'application de démonstration pour KenaGard : un jeu de Nim en Flex, que j'ai réfléchis au problème. Ayant vu que des jeux similaires étaient déjà référencer, j'ai ajouter le nôtre à la liste. Le problème : le statut des liens externes n'est pas bien encadré sur wikipédia; donc c'est à l'appréciation des administrateurs... S'ils ne sont pas d'accord tant pis : Wikipédia ne doit pas devenir un annuaire de liens. L'enjeu réside sur comment statuer sur l'intérêt d'un lien... Un problème isolé qui m'a fait réfléchir à de nombreux autres.

Tout cela pour dire qu'un projet dirigé par une communauté est un amas d'éléctrons libres capables de partir à leur gré sans aucune contrainte aussi forte qu'un salaire pour les retenir... C'est ainsi que des projets informatiques sont souvent victimes de quelques bénévoles zélés ayant une très haute estime d'eux-mêmes et de leur pouvoir. On assiste parfois dans le monde du logiciel à ce que l'on appel des forks (fourchettes) la fission d'un projet en deux autres projets le plus souvent en raison de désaccord.


mercredi 16 juillet 2008

Choisir son blog et passer pour un con

"Wesh gros ! T'as vu il a pas un skyblog le vieux relou !" c'est peut-être sur une citation de ce genre que la HALDE a justifié son choix d'hébergement de blog : SkyBlog.

Merci à Rubin pour les premières remarques et l'info. On notera aussi le côté comique de certains commentaires :

  • les stéréotypiques, du genre "fuck hitler";
  • les peut-être cynique du genre "N'OUBLIEZ JAMAIS : LE RACISME N'EST PAS UNE OPINION, C'EST UN DELIT !!!!!!!!". Dans un pays où l'on prétend défendre les libertés individuelles ça fait sourrire.
  • les révoltés : "c'est trop nul la discrimination" ou encore "Vous avez pas fini avec votre propagande. Et qui paye toutes ces campagnes ?". Qui paye ? ... Je suis sûr que vous connaissez son petit nom, il est sur votre carte d'identité, pour le coup c'est sans discrimination, noir ou blanc ça marche !
  • les censurés car non politiquement correct : voir miroirsocial.
Heureusement la Halde a choisi SkyBlog, ça leur permet d'avoir leur propre pub en haut... Mais bon dans quelques temps, il y en aura d'autres... Ce chox n'est là que pour faire comprendre aux petits djeunz qu'ils sont soutenus par la France, les fonctionnaires qui les méprisent, essayent d'adopter leurs mode de communication... risible.


lundi 14 juillet 2008

Androïd ?

Cet été : j'ai le plaisir de travailler sur les technologies mobiles. Bref j'ai touché à plusieurs petits jouets interressants : Androïd, iPhone et J2ME.

Androïd est l'OS (Operating System) open-source pour téléphone mobile développé par l'Open Handset Alliance. Androïd va être amené à équiper un grand nombre de téléphone mobile. En effet, de nombreux constructeurs font partie de l'Alliance et vont probablement en équiper la plus part de leurs téléphones; citons entre autres :


En développement, Androïd présente un avantage majeur par rapport à l'approche classique d'une programmation en Java et même par rapport à l'iPhone. Cela grâce à une décorélation des éléments du programme sur plusieurs plans :
  • les interfaces peuvent être décrites séparément du code dans des fichiers XML, permettant ainsi d'en avoir une vue clair (proche de ce qu'offre le MXML développé par Adobe);
  • les ressources textuelles et graphiques sont là encore indépendantes du code, contenuent elles aussi dans un XML séparé. Permettant ainsi la modification rapide de certains rendus ou encore la langue du programme;
  • Sur le plan du code, la structure des applications Androïd oblige à un développement relativement propre.
Quels sont les points noirs alors ?
  • Tout d'abord Androïd n'est pas encore sorti, ça traine chez Google (là où se fait le plus gros du travail). La communauté de développeurs continue de travailler avec une version buggé datant de plusieurs mois. Néanmoins, la sortie officielle semble être prévue pour le 5 août, information provenant d'une pseudo-erreur de l'équipe de développement (voir le groupe Androïd Developpers);
  • Notons aussi que même si la conception d'interface à travers du XML est un plus. Lorsque cela induit qu'il soit problèmatique de les modifier à travers du code, là c'est plus gênant;
  • Contrairement à l'iPhone, on ne note pas la présence d'un outil de design d'interface utilisateur.


Loi Hadopi : une petite signature !

La loi Hadopi on commence a en avoir saisi le contexte et les enjeux. Personnellement, ça m'attriste toujours de voir quelques artistes que j'apprécie la soutenir : Jugnot ou BB Brunes... C'est vraiment à vous dégouter de leurs travaux.

Jusqu'ou va-t-on muer par la peur de l'écroulement de son mode de subsistance.

Pour avancer un peu plus, je vous propose la lecture de dix bonnes raisons de dire non à la loi Hadopi sur le site de Ralamax Prod.

Si ça vous a plu vous pouvez continuez en lisant le contre-appel et éventuellement le signer.

Même si je ne peux m'empêcher de penser que chez Ralamax on prêche aussi pour son église, mais il y a des mots que j'ai plaisir à lire : "ils [les défenseurs de la loi Hadopi] s’attachent au vieux modèle économique car ils n’ont ni le recul suffisant ni la présence d’esprit d’en inventer un autre".


samedi 12 juillet 2008

Programmation : qu'est-ce qu'une variable ?

La programmation est a mes yeux une activité très simple. Le plus dur étant de commencer et de comprendre les quelques concept fondamentaux sur lesquels tout repose. Les langages impératifs sont aujourd'hui les plus utilisés, le fonctionnement de ces langages consiste à décrire les étapes du fonctionnement du programme.

Un des concepts qui pose le plus de difficulté aux débutants est celui de variable. Notons aussi que ce problème apparait aussi en mathématiques et qu'il bloque pas mal de collégiens.

Je me propose d'approcher le problème de manière simplifié en considérant qu'une variable n'est rien d'autre qu'une boite. Dans cette boite, on ne s'intéresse jamais réellement à la boite, mais à ce qu'elle contient.

Le concept de boite ne sert qu'à désigner ce que l'on manipule. Par exemple si je vous dis :

  • "prennez la boîte rouge, mettez y un crayon,"
  • "prennez ce qu'il y a dans la boîte rouge mettez le dans la boîte verte."
Au final vous avez simplement déplacer un crayon, mais en utilisant une boite, je peux réutiliser la ligne deux pour déplacer n'importe quoi de la boite rouge à la boite verte... Illustrons un peu avec du PHP, prennons une variable qui s'appelle "$rouge" et une autre "$vert". Si j'écris :

$rouge = 1;

Je remplie ma boite $rouge de la valeur 1. Notons que comme on ne s'intéresse toujours qu'à ce qu'il y a dans la boite quand on la nomme. Ainsi :

echo $rouge;

Affiche "1", "echo" étant la commande pour écrire à l'écran en php.

Si je veux copier la valeur de $rouge dans $vert, j'écris simplement :

$vert = $rouge;

$vert contiendra alors la valeur "1". Notons que cela ne videra pas notre boite $rouge. La valeur de $rouge sera simplement copiée et non pas déplacée dans $vert.

$bleu = $rouge + $vert;

$bleu contiendra alors la valeur 2.

En espérant avoir aider quelques esprits dans leur compréhension.


jeudi 10 juillet 2008

Sarkozy en Chine, ou comment lutter efficacement contre une dictature


Je ne savais pas qu'il y avait encore des échanges aussi virulents entre politiques, même quand on y inclu un Cohn-Bendit ça fait du bien.

Je suis parfaitement d'accord quand il s'agit de critiquer la Chine, je suis aussi parfaitement d'accord quand certains pronent le boycot. L'idée se défend, pour ma part pas de J.O. cette année, je consomme déjà suffisement chinois ;) Mais voilà Sarkozy représente une nation et ses intérêts et doit peser ses choix.

Il y a quelques temps, les militaires chinois défonçaient copieusement quelques tibétains, et le monde s'est dit : "Fuckin' commies, burn !" (en version plus doucereuse). Aujourd'hui, quand les autorités chinoises commencent à dialoguer avec des représentants tibétains, on ne peut nier qu'il y ait des efforts d'appaisement de leur part. Qu'attendait M. Cohn-Bendit ? Qu'ils concurrencent l'Occident ? Peut-être qu'ils nous donnent aussi des leçons en matière de libertés individuelles en pronnant la légalisation du cannabis ?

Je ne me rappel pas avoir entendu dans l'actualité notre brave Daniel hurlé, quand on envoyait des fond pour palier au problème de faim dans le monde pour les pays en voie de développement. Parce que je rappel que dans certains pays d'Afrique, il est toujours de bon goût de caillasser les femmes adultères et d'enfermer les homosexuels.


mercredi 9 juillet 2008

La France se cherche un Goebbels

Je suis toujours impressioné de voir à quel point les autorités publiques aiment dilapider l'argent qui n'est pas le leur... Mais bon elles ne sont pas pour être rentables.

Mais qu'est-ce qui peut justifier la propagande, qui aujourd'hui est visible partout ? Qu'elle soit pour le STIF (voir article précédent sur ce syndicat), ou bien encore pour permettre au gouvernement de remonter dans les sondage. Le budget du gouvernement explose en matière de com', je m'interroge sur le climat que cela reflète au niveau du pays.

L'état n'est pas une entreprise. Mais que penseriez-vous d'un prestataire qui dépenserait votre argent pour vous expliquer qu'il fait bien son travail, et que son échec n'est due qu'à un contexte ?


mardi 8 juillet 2008

Pourquoi les profits du capital sont justifiés

Souvent on entend dire que les profits du capitale sont injustifiés, quasiment malhonnêtes...

Ce qu'on oublie souvent c'est qu'à travers la possession d'actions et autres actifs financiers, on peut le plus souvent perdre tout l'argent investi. Triste exemple que celui de Smoby : voir l'article sur Boursier.

Pour dénouer un peu les obscurs termes financiers sur "la réalisation d'actif qui ne couvrira pas le passif", on peut traduire que même une fois que ce que possède la société (actif) aura été vendu; l'argent généré ne suffira pas à payer ce qu'elle doit (passif). En clair, les comptes de la société seront toujours dans le rouge, les actionnaires ne recevront même pas un centime.

Je précise aussi que lors d'une telle situation (liquidation), la vente des biens de la société génère de l'argent qui n'est pas répartie de manière égale entre les créanciers (ceux à qui la société doit de l'argent). En effet légalement certains valent plus que d'autres :

  • l'état en premier lieu ;
  • les banques (avec une hierarchie entre elles) ;
  • les autres créanciers.
Si je ne me trompe pas, cela se nomme le droit de préférence.


samedi 5 juillet 2008

Réseau de neurones artificiel

Article à mettre en lien avec le précédent : neurone formel.

Un neurone artificiel, précédement détaillé de manière très simpliste, permet d'approcher le fonctionnement d'un neurone naturel. Des entrées correspondants à un influx nerveux, une excitation pour le neurones et une sortie qui varient en fonction de cette fameuse excitation. Cette sortie correspond biologiquement à la "réponse" du neurone.

A partir de là poursuivons le parallèle puisque le corps humain fonctionne bien... Qu'est-ce qu'un cerveau si ce n'est qu'un amas de neurones ? Je vais peut-être faire frémir des biologistes, mais pour mon exemple la réponse est : rien. Comment est-ce que l'on construit un réseau de neurone ?

Tout simplement : les neurones sont structurées en couche (il y en a trois sur l'illustration). Les sorties des neurones d'une couche servent d'entrée à la couche qui suit, la première couche s'appelle la couche d'entrée et la dernière la couche de sortie.

Ce que j'énonce ici, nous donne un système assez plat, car une fois qu'on a notre réseau, on a rien de plus qu'une belle machine qui va nous faire des calculs... Rien de très original, on en a plein des trucs comme ça... Seulement le cerveau peut apprendre, et le réseau de neurones aussi.

Ainsi si on veut un réseau qui sache reconnaitre une forme, c'est a dire dire si a partir d'une image s'il s'agit d'une croix ou d'un rond (problème de classification).

Comment ça se passe : chaque neurone a des pondérations (une par entrée)... Cela ne change pas grand chose a notre problème, imaginez que pour un neurones de trois entrées, on a trois pondérations une pour chaque entrée... Les pondérations vont multipliés les entrées, et ensuite tout comme précédement dans mon explication.

Par exemple :

  • trois entrées sur un réseau ;
  • trois pondérations, ayant par exemple les valeurs 2, 3 et 5 ;
  • si les valeurs 1, 1 et 3 arrivent en entrées. Les pondérations les multiplierons et nous aurons donc 2, 3 et 15.
Notons que les pondérations sont des valeurs internes du réseau : elles ne changent pas avec les entrées, elles sont constantes hors apprentissage.

En effet, lorsque l'on crée un réseau de neurones... il est impossible de mettre les pondérations pour avoir le fonctionnement désiré. L'apprentissage d'un réseau de neurones ne consiste qu'à rechercher les bonnes pondérations pour le réseau. Une des méthodes pourrait être de les rechercher au hasard, ça marcherait, mais c'est long, très long... Il existe donc des méthodes mathématiques basées dur des approches par descente du gradient. Trop compliquées pour que je les maîtrise au poind d'arriver à les vulgariser.

Le réseau détaillé ici fait partie de la famille des perceptrons multicouches (pas d'articles en français), il existe de nombreux autres types de réseaux, mais je ne suis familié qu'avec celui-ci.


vendredi 4 juillet 2008

Chiche ?

Je ne connais pas bien le fond de l'affaire, voir même pas du tout. Mais Google vient d'être obligé par la justice à fournir des logs (enregistrement relatif à l'utilisation de leur services) à Viacom. Ces données privées sont considérées comme personnelles, elles sont aussi d'une taille conséquente 12 Tera-octets : TechCrunch en propose l'impression pour les fournir un format papier.

En effet, obéir à la loi c'est un peu inévitable. Faire preuve d'une absence complète de zèle quand la décision est injuste, c'est bien la moindre des choses.

Pour information, le texte de cet article fait : 728 octets, la quantité de texte des logs de YouTube concernés est donc 16 milliards de fois plus importantes.


jeudi 3 juillet 2008

Attention Ingrid ! Ici ils n'ont pas de barbes

Attention article improductif au possible. N'ayant que trop peu le temps d'écrire en ce moment, mon encre sature de saloperies à balancer.
A ne lire qu'avec un peu d'humour.


Ca fait plaisir de voir qu'après nous avoir tant casser les couilles avec ça, ils ont enfin réussi à libérer du monde (du moins la seule personne qui intéresse la France). Sarkozy a cru bon de sauter sur l'occasion pour s'exprimer, il ne me semble qu'il y soit pour quelques choses. Par ailleurs remercier Hugo Chavez c'était limite déplacer, lui qui a bénéficier de l'aide des FARC pour sa campagne. Donc merci M. Uribe d'avoir choisi de botter le cul à ces révolutionnaires qui donnent plus dans le deal et le kidnapping que dans le communisme (c'est mieux ?). Mais je m'égare, arrêtons donc cette introduction ici.


Pendant ce temps là au pays des Lumières (éteintes depuis bien longtemps maintenant), notre facteur préféré se réunissait avec ses copains. Pourquoi ? Pas pour peupler le public à l'émission de Drucker. Non ! Pour créer un nouveau moyen de lutte contre la pourriture capitaliste de notre monde.

Le vrai désastre de la gauche aujourd'hui c'est de n'arriver à se définir que par rapport à la droite. Côté extrème gauche, ce n'est pas tout a fait pareil, mais rester bloqué en 49, c'est grave je pense. La vrai question à laquelle devrait répondre les communistes, c'est : est-ce que le communisme peut conduire à quelque chose de mieux que le couvre-feu en Corée du Nord, la famine au Zimbabwé et la pauvreté à Cuba ? Prouvez le moi et j'accepterais peut-être d'envisager que certaines personnes puissent dans un accès de folie vouloir son retour.


Mais non, quand on est rouge, bien rouge, le pinard a déjà tout rongé, et donc on combat le néolibéralisme, pas les stéréotypes n'est-ce pas. En dehors de l'abscence de définition réellement clair du sujet ce n'est pour moi qu'un terme marketing, pour désigner ce que la gauche n'aime pas. C'est un terme marketing, tout comme ce fameux NPA (comprendre Nouveau Parti Anti-capitaliste)... "la lutte des classe n'est pas fini", oui camarade rien n'a changé ! Je proposerais volontiers un nom plus original : MCMA (Mêmes Conneries Même Avenir), mais bon ça sonne pas assez chiant, le comité local n'a même pas voulu m'écouter.


Related Posts with Thumbnails