lundi 28 septembre 2009

Toutes choses étant égales par ailleurs, mention légale souvent oubliée

«Toutes choses étant égales par ailleurs», ceteris paribus

Cette mention présente entre autres dans un grand nombre de cours d'économie, est parfaite pour quiconque a déjà le plaisir de la comprendre, mais m'avait laissé dans un état végétatif consécutif à sa non compréhension.

Plus pragmatiquement, elle signifie que l'auteur invite à considérer sa réflexion dans le cadre d'un univers inchangé. Typiquement sur un marché, l'augmentation du coût des matières premières entraîne une augmentation des coûts des entreprises, toutes choses étant égales par ailleurs, c'est à dire que si parallèlement le coût d'autres facteurs de production diminue (typiquement des coûts de main d'oeuvre), il est possible que les coûts de l'entreprise diminue ; l'auteur se 'protège' donc de cette situation par la formule qui nous occupe.

Cette mention peut paraître superflue, mais c'est bien sa présence qui fait la justesse du raisonnement.

Ici s'arrête le point didactique, ici commence ma tirade.

En effet cette mention m'évoque deux sortes de travers communs dans les modes de réflexion politiques.

Le premier, l'utilisation de cette mention alors qu'elle n'a rien à y faire. Ceci est en général le signe d'une incompréhension chronique de l'économie de marché, où le politique ne comprend pas que ses actions ont un impact très large. Exemple : M. Borloo qui, entre deux allocution notée X par le CSA et censurées par France TV, explique que si le système des bonus / malus est déficitaire il faut augmenter le montant des malus. C'est vrai que dans les comptes si on rectifie ce simple chiffre l'opération peut devenir fiscalement profitable. Mais même (surtout ?) un ministre devrait comprendre que l'on ne peut pas hausser les prix sans altérer le marché et que ce faisant, il risque d'aggraver son cas.

Sur d'autres points, le socialisme a également des espérances miraculeuses, le RSA a été crée pour que les gens arrêtent de rester à ne rien faire chez eux parce que c'est plus sympa et aussi bien payé. Alors du coup, on leur donne un bon point pour les x premiers mois de travail, et dans les mois qui suivront,... pouf ils seront comme de fiers Stakhanov.

Il me semble néanmoins que l'on vient de déraper, puisqu'une fois que l'on aura fini la distribution de bons points, on sera revenu à la situation de départ modulo le fait que l'individu travaillera. Mais toute chose étant égale par ailleurs, il cherchera à retourner à a situation qui lui est la plus confortable.

Toutes choses étant égales par ailleurs, augmenter le prix fait augmenter les rentrées, mais pragmatiquement augmenter le prix fait diminuer la quantité de produit vendue.

Toutes choses étant égales par ailleurs, quelqu'un qui ne voulait pas travailler dans un situation X, aura tout un intérêt à retourner à son oisiveté une fois la 'stimulation' terminée.


samedi 26 septembre 2009

Quand les bisounours marquent un point Godwin

«La haine est un sentiment qui ne peut exister que dans l'absence de toute intelligence.»


mardi 22 septembre 2009

Est-ce que c'est un cauchemard ?

Je me lève, j'allume la radio, je cherche BFM :

  • Je tombe sur une station inconnue où une espèce de demeurée explique que le SIDA est la punition de ceux qui n'ont pas respecté l'Islam ;
  • Quand je trouve BFM pour entendre le responsable élyséen de la propagande qui nous raconte que c'est 1,3 millions d'euros qui sera dépensé pour nous annoncer qu'il dépense aussi le reste ;
  • L'instant d'après, j'apprend que neuneu et nunuche se sont pris les pieds dans le tapis, les politiques incitatives marchent trop bien... Je vous invite donc à lire cet article concernant les solutions anciennement évoquées et celui-ci sur l'efficacité des politiques incitatives.
Bon, faudrait que j'arrête la radio au réveil.


jeudi 17 septembre 2009

Citation étonnante


«Tandis que la règle du capitalisme américain est "permettre aux nouvelles entreprises de voir le jour", il semble que celle du capitalisme français soit "permettre aux vieilles entreprises de ne pas mourir" ! Mais le capitalisme français ne peut obtenir ce résultat contre nature sans une intervention active de l'Etat. C'est ce qui doit changer.»

Je me devais de reprendre cette citation depuis le Journal Libertas, puisque celle-ci présentent trois caractéristiques qui la rendent remarquables :

  • Premièrement sa pertinence, ce qui n'est pas donné à tout ce qui sort de la bouche d'un politique, ni à tout ce qui rentré dans l'histoire contre-exemple "toute ma vie je me suis fait une certaine idée de la France", ce à quoi je répond : "Merci Charly, je vais caler un meuble avec ça" ;
  • Deuxièmement son auteur , M. Blum n'est pas en effet réputé pour être un libéral, mais plutôt un homme de gauche. Après réflexion, ce constat étaye parfaitement une politique de gauche, les nouveaux capitalistes, ne sont pas les anciens, des vieilles entreprises qui ne veulent pas mourir, c'est un ascenseur social grippé ;
  • Troisièmement, son caractère contemporain, nous étions probablement avant la seconde guerre mondiale très probablement et rien n'a changé.


mercredi 16 septembre 2009

Petit cours de langue de bois

Je pense qu'il n'est pas inutile en ces temps perturbés de préciser quelque peu la signification d'expression courrament employées :

«Le capitalisme et son frère de sang, le libéralime ont les conséquences funestes et irrémédiables que nous savons.»

Peut se vulgariser par :

«Cher ami, je suppose que votre niveau intellectuel est proche du mien, ainsi je suppose que je ne vous choquerais en faisant un amalgame foireux entre le capitalisme et le libéralisme. Je désires faire passer une nouvelle loi pour des motifs inavouables, ainsi j'essaye réveiller chez vous ce qu'y ont caché les médias, la peur de voir vos congénères libres. Vous comprendrez donc qu'ils nous faut vous affubler de chaines pour qu'eux acceptent les leurs.»


samedi 12 septembre 2009

Pourquoi je crache sur la Sécurité Sociale et consors

Petit rappel préalable : après mûre réflexion si je dois m'apparenter à un courant philosophique quelconque, je pense que ce serait le nihilisme au sens où (comme je l'ai lu sans pour autant me rappeller où) : "Tout système placant une ou plusieurs valeurs au-dessus de l'homme, s'apparente à une religion".

Ceci implique que je ne m'attends pas à voir une sorte de justice suprême régir le monde, pour moi un film réaliste est un film où les salauds s'en sortent mieux que les gentils ; ça démontre les qualités d'observation du scénariste.

Ces considérations énoncées, la seule chose que l'homme me semble en droit de réclamer est la propriété du fruit de son travail. Ceci implique par conséquent le respect de son choix de réinvestir ces fruits dans du capital ou de les céder comme bon lui semble. Naturellement par propriété, j'entend pleine propriété et ces petits impôts qui pimentent notre quotidien et ont tendance à nous irriter sont des entorses à ce droit de propriété.

Ce petit rappel terminé voici quelques unes des critiques majeures que j'oppose à ce monument à la connerie humaine qu'est la sécurité sociale française.

Croire que l'égalité est possible est un symptôme idéologique

La principale idée sous-jacente derrière la sécurité sociale est celle des "droits à" : droit à la santé, droit au logement, droit à l'éducation, un grand nombre de chose qu'on peut évidemment souhaiter à un grand nombre de gens, mais qui me fait penser qu'il faudrait peut-être limiter les stupéfiants avant de toutes les défendre.

Tous les hommes doivent pouvoir exiger logement, santé et éducation, n'hésitons pas rajoutons amour et vie éternelle... Derrière ces idées le mythe de l'égalité, non pas devant la loi, mais devant la vie. L'état remplace Dieu et affront des inévitables "Seigneur, pourquoi l'engin de Rocco est-il plus gros que le mien ?". A défaut de pouvoir assouvir ces rêves de grandeur, c'est un inévitable nivellement par le bas.

La qualité des services de santé français, en décroissance croissante (formulation un peu lourde...), n'est que là pour illustrer mon propos.

Vous avez déjà eu l'occasion de parler du temps d'attente subit au urgence, des médecins exténués, certains ne parlant pas le français, des conditions d'hygiène plus que limite et ... des cliniques privées. Ca marche mal, mais c'est pour tout le monde pareil !

Un monopole ne peut engendrer que des situations de mépris du consommateur

Pour renforcer le constat précédent, je me dois également d'évoquer une autres des particularités de la Sécurité Sociale : elle est en pur situation de monopole. Mais qu'engendre donc le monopole de si horrible ?

(Attention les mots qui vont suivre concerne la plus part des grosses structures française : Etat, éléctricité, communication, santé, transports, ...)

Un entreprise (oui les trucs horribles avec des actionnaires dedans) qui n'est pas en situation de monopole affronte une pression constante de la part des concurrents pour sa survie. Elle lutte donc pour rester en place et croitre avec ses propres armes et agit sur différents types de leviers d'actions :

  • Réduire ses coûts unitaires en améliorant ses process, modifiant ses produits ou en trouvant de la matière première moins cher ;
  • Améliorer sa valeur ajoutée en modifiant ses produits, en améliorant son image ou en développant son offre ;
  • Se différencier en construisant son offre par rapport à celle de la concurrence de manière à satisfaire d'autres consommateurs.
Ces leviers d'actions sont à considérer en rapport les différentes sources de pression qu'elle doit affronter à cause de la concurrence : les clients, actionnaire et salariés sont susceptibles de passer à l'ennemi et de causer sa perte.

En situation de monopole, l'équilibre est brisé et l'entreprise se focalise sur les attentes de ses dirigeants (actionnaires quand il y en a); le consommateur est oublié puisque quoi qu'il arrive, il n'a pas le choix. Le travailleur spécialisé, lui aussi l'a dans le cul et s'il part c'est pour devoir repartir de 0 dans un domaine où il est sans qualification.

La Sécurité Sociale est des pires monopoles qui soit : ceux d'état, inaltérable, elle pose donc les règles comme elle le souhaite. Elle choisit ce qui est bon pour vous (exit les médecines alternatives par exemple), diminue les services, augmente les prix (elle s'en balance, vous allez rester et vous allez payer), vous laisse vous emmêler dans une administration tentaculaire qui n'existe que parce que l'état trouve que c'est cool de créer des emplois et y voit un bon moyen de décourager certaines demandes ou l'exercice de certains droits énoncés plus haut (finalement n'a pu), plus récemment, elle vous dit même où aller vous faire soigner.


Les conséquences des systèmes de solidarité forcées sont profondément injustes

Friedman l'a dit : "les repas gratuits n'existent pas", la santé gratuite non plus, et le père Noël non plus (mais ça, ça ne vient pas de Friedman). En clair, il y a toujours quelqu'un pour la payer la Sécurité Sociale, un enculé de riche, certainement, un gripsou... Malheureusement on est tous le riche de quelqu'un, et finalement c'est un peu tout le monde qui paye. Les conséquences de ce paiement obligatoire de l'impôt bisounours sont tout simplement de diminuer la quantité d'argent disponible pour les personnes.

La conséquence pour le pauvre (le gentil de l'histoire) n'est pas extrêmement déplaisante, il a ses soins dans un hopital publique qui a ses défauts mais qui a le mérite de l'accueillir sans le faire payer. Pour le riche (lui méchaant !), il se fait un peu enculer, mais entre deux cigares et le licenciements d'un employé il se refait pour le reste il s'en fout, il connaît l'hôpital publique, il et préfère le privé. Pour le mec du milieu, pauvre pour le riche et riche pour le pauvre, l'histoire devient plus cocasse, on le rase copieusement pour lui apprendre la solidarité et du coup, du coup plus question de clinique privée ; on lui sacrifie ses choix de santé au profit d'autres.

Un collègue m'a dit cette semaine quelque chose qui m'a profondément choqué : "j'avais un meilleur niveau de vie à 1300 € par mois de salaire qu'à 1700 €". A méditer et à ruminer.

* *
*

Au fond le meilleur argument pour la sécurité sociale (sans majuscule et au sens large), c'est la peur ; la peur d'être un jour dans la merde et de pouvoir à son tour en profiter.

Réflexion faisant suite à un échange avec Vogelsong sur Twitter, 140 caractères, c'était trop peu.


vendredi 11 septembre 2009

Interpoler une couleur - Snippet JavaScript

Petit point purement technique pour les développeurs AJAX.

Il peut arriver que l'on ai besoin d'interpoler une couleur en JavaScript pour créer des échelles visuelles de couleurs ou autres besoins similaires.

Ici :

  • minColor et maxColor sont les valeurs extrêmes de la plage de couleur désirée en forme hexadécimale (C01EA9 par exemple);
  • maxDepth une valeur numérique, représentant la valeur maximale de notre plage (par exemple pour une échelle de 3 couleurs elle prendra la valeur 2, une couleur pour 0, une pour 1 et une pour 2) ;
  • depth représente la profondeur sur l'échelle de couleur souhaitée par l'utilisateur (donc forcément inférieur à maxDepth).

Un exemple d'appel à la fonction : interpolateColor("000000","ABABAB",4,2) qui renverra une couleur représentant un niveau 3 sur une échelle de 5 couleurs (ne pas oublier de compter le 0) entre la couleur #000000 et #ABABAB.

Voici le code à proprement parler :

function interpolateColor(minColor,maxColor,maxDepth,depth){

function d2h(d) {return d.toString(16);}
function h2d(h) {return parseInt(h,16);}

if(depth == 0){
return minColor;
}
if(depth == maxDepth){
return maxColor;
}

var color = "#";

for(var i=1; i <= 6; i+=2){
var minVal = new Number(h2d(minColor.substr(i,2)));
var maxVal = new Number(h2d(maxColor.substr(i,2)));
var nVal = minVal + (maxVal-minVal) * (depth/maxDepth);
var val = d2h(Math.floor(nVal));
while(val.length < 2){
val = "0"+val;
}
color += val;
}
return color;
}


mercredi 9 septembre 2009

Le meilleur article que j'ai lu sur la taxe carbone

Le prix revient à Vincent Bénard et je ne peux que vous inviter à lire et relire : Taxe Carbone mon amour !

Petite mise en bouche :

«"La Taxe Carbone n'augmentera pas les prélèvements obligatoires".

Je la réécris deux fois, celle là, parce que ce n'est pas, contrairement à ce que vous pourriez croire, une juxtaposition oxymoronique, mais un dépassement conceptuel à examiner dans une démarche décontemplative post-logique, qui submerge les synapses du lecteur au souffle coupé et l'érection tendue par un tel renversement paradigmatique de la fiscalité française.

"La Taxe Carbone n'augmentera pas les prélèvements obligatoires".»

Je vous laisse, je retourne savourer ce moment d'extase que m'a procuré ce texte.


mardi 8 septembre 2009

Pourquoi l'état ne devrait pas surtaxer ce dont il souhaite faire baisser la consommation

Vous vous souvenez de la théorie des jeux ? Si ce n'est pas le cas, faites un saut sur cet article.

La théorie des jeux est un formalisme des relations entre des acteurs individualistes (au sens où ceux-ci ne se préoccupent que de leur intérêt propre).

L'état bienveillant qu'il soit français, chinois ou cubain, voit d'un bon oeil le fait d'aider ses concitoyens dans leur choix de tous les jours. Ainsi le peuple n'étant composé que d'irresponsables (lorsque l'on voit leurs élus, on ne remet pas ce jugement en doute), l'état se doit de l'aider à faire le bon choix et on l'aide à faire le bon choix en rendant plus coûteux pour lui un mauvais comportement :

  • On taxe l'essence pour lui apprendre à aimer la nature ;
  • On taxe la cigarette parce qu'il risquerait de chopper un cancer et accessoirement pour en faire un produit de luxe ;
  • On taxe les connexions internet pour qu'il continue d'utiliser les médias traditionnels arrête de pirater ;
  • On taxe les profits parce que faut pas déconner c'est dégueulasse ;
  • On taxe pas mal de truc par habitude.
Néanmoins à travers toutes ces taxes une implication très simple se dessine ; pour l'état : problème => revenus. En d'autres termes, les problèmes dont l'état propose de se charger génèrent pour lui des revenus et donc il est intéressé à leur existence.

Quel est l'avantage de l'état à la performance d'un réseau routier dont les déficiences génèrent des revenus supplémentaires ? Quel intérêt a-t-il à interdire la cigarette (on est plus à ça prêt !) quand l'augmenter doucement chaque année permet de prélever un peu plus ? Au fond, pourquoi résoudre un problème qui rapporte ? Pourquoi libérer du pouvoir d'achat dont il serait impossible pour lui de capter la valeur par la suite ?

Ce qui est d'autant plus paradoxale c'est que cette approche dans laquelle chaque individu cherche à maximiser ses gains est justement celle qui justifie toutes ces taxes... c'est ce que l'on appelle des politiques incitatives.


dimanche 6 septembre 2009

Un petit retour

Il y a quelque temps je faisais un parallèle entre la théorie des jeux et l'urbanisme moderne, ... quoi de plus opportun que de lire cet article quelque temps après sur la guéguerre qui oppose deux maires d'Ile-de-France et qui en arrive à bloquer la circulation.

Est-ce qu'un seul de ces maires peut honnêtement penser qu'il sert ses administrés comme il le devrait ?


Communication does matter

Il peut être assez amusant de constater que les défauts de l'enseignement peuvent transparaitre là où on les attends le moins.

Je suis souvent attristé d'observer certains enseignants de matières à forte consonance mathématique croire que la justesse de leur raisonnement fait la qualité de leur enseignement. En d'autre terme : "cette démonstration est juste, vous devriez la comprendre, je ne peux communiquer d'explication plus claire". A tel point que l'on a envie de répondre que puisque les maths ne sont "qu'un empilement" de théorèmes, la démonstration peut se limiter à 1+1=2 accompagné de quelques axiomes supplémentaire puis on annonce la conclusion ...

Globalement l'esprit humain passe par des chemins tortueux pour aboutir à la compréhension ou la prise de conscience. Ceci explique l'intérêt des exemples et des métaphores, la construction de ces dernières est un art subtil et paradoxal : déformer la vérité en la conservant.

J'ai lu qu'une erreur de communication très répandue en entreprise était de croire qu'il suffisait de diffuser une information une seule fois et clairement pour qu'elle atteigne sa cible. Quand on y réfléchit, ce prédicat fortement ancré dans nos pratique est erroné, l'oubli et inattention ne sont que les principaux responsables de cette carence en communication.

Quelques fois on peut même constater comment il est aisé de se décharger du poids moral de l'accomplissement d'une tâche par l'envoie d'un simple e-mail à une personne plus concernée... Manière de dire qu'avec un simple e-mail elle est pleinement consciente de la situation, si ce n'est pas fait je ne serais plus le principal responsable. Chose en soit qui n'est pas complètement fausse, mais qui cause plus de problèmes qu'elle n'en résout.

Pour moi les deux phénomène sont liés puisqu'ils présupposent que si une personne possédant une information décide à un moment de transmettre cette information dans un mode qui lui est claire, alors l'information peut-être considérée comme transmise.


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