dimanche 25 octobre 2009

Le bilan de l'affaire Jean Sarkozy

Le résultat des courses avec Jean Sarkozy est finement joué.

Sur le plan médiatique, c'est une pure opération de com'. Dans son passage à la télé de Papa (comprendre le JT de France 2), Jean Sarkozy a fait un joli coup :

  • Il a montré qu'il avait réussi à apprendre à parler le branleur de l'assemblée. Verbiage qui m'inquiète déjà quand une personne de plus de 35 ans l'utilise. Pour Jean Sarkozy, c'est manifeste, le service com' de l'UMP a fait des ravages manifestes, tenir le discours des plus de 55 ans à son âge, je ne sais pas si c'est une preuve de maturité ou d'immaturité ;
  • Parallèlement, la moitié des pigeons de France et de Navarre ont eu l'impression d'avoir triomphé, ... un coup de génie... En renonçant à se présenter à la présidence de l'EPAD, tout le monde a sorti le champagne et le claquement des bouchons a fait oublier le fait qu'il serait néanmoins administrateur de l'établissement (poste pour lequel les critiques soulevées n'étaient pas moins pertinentes).
Ce poste d'administrateur est d'ailleurs très finement placé, puisqu'il légitime le petit pour la suite, de la même manière que l'a fait son élection au conseil général. Ainsi il aura une légitimité tout à fait pertinente, et il aura l'équipement traditionnel du politicard.

Les arguments autour de cette affaire m'ont copieusement fait gerber :
  • trop jeune ;
  • pas fait assez d'études...
Bah oui, nous en France, on est très con,... mais on c'est entre vieux énarques qu'on ruine le pays. Vous vous rappellez de ce sketch de Coluche et de cette administration où pour monter en grade il faut attendre que le plus vieux parte à la retraite pour décaler tout le monde d'un cran ? Ca on adore, ça évite d'avoir à se préoccuper de notion capitalistique comme la compétence. C'est avec des principes comme ceux-là que l'on rémunère les traders, vous voyez ce que ça a donné ! Non mais franchement, si on donnait les postes aux personnes compétentes, vous imaginez la tête qu'aurait la France ? Faut pas déconner quand même.

Le message envoyé à la jeunesse de ce pays était dans l'ensemble assez gerbant, rien que l'énoncé de la pétition qui a circulé dont le contenu était en sommes : grandit un peu, prend des diplômes et deux trois postes pourris et revient. Expérience et diplômes ne sont pas compétences, ils y contribuent mais ne font pas tout, c'est une idéologie toute biblique que de souffrir pour réussir. En tout cas pour toutes les personnes de moins de 30 ans qui vont demander qu'on leur donne leur chance sur un poste cette année, le message est tout prêt !

Ils sont rares les messages où j'ai lu que si Jean Dupont se serait appellé Sarkozy (corrigez vous-même), alors il n'aurait pas eu le droit de citer dans une assemblé de l'UMP, on en aurait rien eu à foutre de ses "compétences", on lui aurait dit d'aller se faire mettre, de faire un peu de droit et l'ENA. On l'a traité simplement comme un jeune en passe d'accéder à un poste, et comme s'il était obscène de mentionner qu'il était là par son nom, on l'a attaqué sur son âge.


lundi 19 octobre 2009

Beat on the brat

Vous aussi participez au Google Bombing du Prince Jean, second de la dynastie Sarkozy.

Jean Sarkozy n'est qu'un fils à papa, mais Google ne le sait pas encore, c'est donc grâce à ces quelques liens que nous pouvons le lui apprendre.

Pour tous ceux qui n'auraient pas compris la référence du titre, un petit point culture avec les Ramones.

Pour tous ceux qui ne seraient pas familier avec la technique, l'article sur le Google Bombing de votre encyclopédie préférée vous éclairera.


samedi 17 octobre 2009

Arbeit macht frei

J'espère que vous n'êtes pas venu ici en espérant que je vous parle des camps de concentrations (rapport au titre), mais je vais vous parler de socialisme et de léger problèmes de perception face au travail.

C'est un rituel en France, si vous voulez voir un ministre, son agenda est tellement plein qu'il vous faut remonter en haut de ses priorités. Mais comment remonter en haut des priorités d'un ministre ?

C'est très simple : vous devez ennuyer suffisamment le reste de la populace pour avoir un rendez-vous et une écoute pas trop distraite : "Crevez dans votre coin, on s'en fout; mais pitié ne nous faites pas perdre des électeurs !".

Donc c'est parti chez les agriculteurs, on va allé faire chier le citadin, mais bien, ...opérations escargots tout ça. On se met un peu de bouse de vache pour faire du camouflage (de la merde sous la merde ça ne ressort pas trop), on fait vrombir les tracteurs, on emmène trois ou quatre vaches et c'est parti.

Alors quand les journalistes arrivent, on ne dit pas qu'on emmerde le citoyen moyen parce que ça permet d'avoir un peu d'attention. C'est donc ainsi que sur France 3 hier soir, on voyait des gens caillasser des préfectures et pourrir des rues, mais rassurons-nous pour eux, ce n'est pas de l'ultra-gauche anarchiste (ce terme me fait pisser de rire). Pour le coup : ils vivront sur notre économie morbide, voir moribonde ! Française, français rassurez-vous : vous pouvez casser sous réserve de n'être ni jeune, ni gauchiste, ni étranger, ni basané.

Dans la foulée, un journaliste interview Dédé Guevara (les noms ont été remplacés pour pallier à mes trous de mémoire). Dédé explique qu'il faut un juste prix pour récompenser son travail. Il travail, c'est donc normal qu'il obtienne un salaire décent. C'est là qu'intervient dans mon esprit cette phrase qui était en haut des portes des camps : "Le travail rend libre"...

Comme si le travail pouvait vous permettre de vous affranchir d'une forme de dépendance ou d'emprisonnement à votre condition humaine. Comme si le travail comblerait vos besoins. On m'a mentit quand j'étais petit : tout travail ne mérite pas salaire, car à cette phrase j'opposerais cette citation pugliese (Italie du Sud) dont la traduction n'est qu'approximative : "Démolir, puis reconstruire, ça s'appelle toujours travailler". Le travail peut-être inutile, ou non performant.

Le travail de cette agriculteur mérite-t-il forcément qu'il en vive décemment ? Devons-nous nous interdire d'acheter des denrées moins chers produites par d'autres travailleurs sous prétexte qu'ils seraient étrangers ? Doit-on obliger des touristes à aller dans cet hôtel quatre étoiles de 2000 chambres perdu dans le désert de Gobi sous prétexte que des gens ont travaillés à sa mise en place ? Doit-on empêcher cette industrie de tombée car elle ne serait plus compétitive sous prétexte qu'elle est stratégique ?

Tout ceux qui vous affirment les vertus du travail vous mentent... On ne s'enrichit pas par le travail, le travail n'est pas une fin en soit, il n'est ni un but, ni une garantie d'atteindre ses buts. C'est un éventuel outil, mais celui qui en attend aveuglément une récompense sous prétexte qu'elle lui serait due se voile la face.


mercredi 14 octobre 2009

Afficher une notification lorsqu'un serveur répond (Mac OS et Linux)

Etant au chômage technique pour quelques heures, je profite de l'occasion pour écrire un petit article.

Mon problème c'est que mon serveur web est actuellement parti pissé... Donc en attendant qu'il revienne, il faut que je m'occupe. Mais le patron ferait la gueule si je trainais à faire autre chose alors que mon outil de travail est revenu, mais plutôt que de tester toutes les cinq minutes autant rendre la chose ludique et l'automatiser.

Alors d'abord comment être sûr que le serveur est en vie, dans mon cas il s'agit d'un serveur web, donc l'aboutissement d'une simple requête est un signe d'activité. Néanmoins il faut que cette requête soit avec un timeout élevé pour éviter qu'elle ne s'interrompe simplement parce que le serveur n'a pas répondu.

Ainsi dans un terminal sous Mac OS :

  • curl --connect-timeout 200000 http://www.monserveurquiestpasla.com
Et dans un terminal sous Linux :
  • wget -T 200000 http://www.monserveurquiestpasla.com

Dans les deux cas, le timeout (durée d'expiration de la requête) est en secondes, veillez à entre mettre une suffisamment grande. Les deux programmes sont installés par défaut, donc pas de panique de ce côté, ça devrait marché. Reste maintenant à vous notifier :
  • Sous Mac OS, téléchargez l'application Growl et installez là, mais ne démontez pas le volume après installation (pas d'éjection). Ouvrez un terminal et tapez (adaptez la commande selon la version de Growl) : "cd /Volumes/Growl-1.2/Extras/growlnotify", ceci vous amènera dans le dossier de l'application growlnotify qui permet d'appeller une notification en ligne de commande. Il ne vous reste plus qu'à l'installer : "./install.sh", normalement tout fonctionne correctement.
  • Sous Linux, nous allons simplement installer le programme beep qui joue un bip système : "sudo aptitude install beep" et c'est fini ! Linux dispose aussi de système de notifications avancés comme Growl mais je n'ai pas de machine sous Linux à moins de 5 mètres pour faire les tests et vous dire...
Ensuite, il ne vous reste plus qu'à appeller après votre requête la commande de notification. Sous Mac OS :
  • curl --connect-timeout 200000 http://www.monserveurquiestpasla.com ; growlnotify -sm Il semblerait que le serveur soit ok
Et dans un terminal sous Linux :
  • wget -T 200000 http://www.monserveurquiestpasla.com ; beep
Ce type de méthode peut-être également utile lorsque vous attendez derrière un long transfert de fichier, elle est très simple à mettre en place pour peu que votre programme s'exécute en ligne de commande.


lundi 12 octobre 2009

Si Adam Smith avait rêvé l'histoire de l'iPhone

Ici je parle énormément de politique mais je suis à la base un homme des technologies. Voici une occasion de faire un parallèle important entre ces deux mondes.

Tout d'abord la main invisible de Smith peut se résumer selon moi, comme étant cet élément positif qui fait que l'individualisme pousse l'individu à agir dans le sens de la communauté. C'est l'idée que l'intérêt des individus tende également vers l'intérêt de la communauté. Nous ne discuterons pas de l'hypothèse en elle-même, j'ai déjà écrit un article sur le sujet, mais je pense que je vais repasser sur ce point afin d'en développer la réflexion.

Quel lien avec l'iPhone ?

L'iPhone ne serait rien selon moi sans la plateforme qu'il a permis de développer : l'AppStore. Un moyen simple pour un utilisateur d'installer une application (payante ou non), mais également un moyen simple pour un développeur de distribuer son application.

Avant l'AppStore, le développeur ambitieux qui voulait espérer toucher sans beaucoup de moyens un public large devait passer impérativement par le web, ce qui devait de limiter quelque peu sa créativité.

Le développement d'application pour mobiles était hypothétique car la complexité de la distribution faisait que celle-ci était très coûteuse et donc inaccessible.

Le développement d'application pour PC de bureau était également compliqué, puisqu'à défaut d'apporter une sérieuse valeur ajoutée, il est exclu de réussir à vendre un logiciel à des particuliers (je grossis les traits). Qui plus est la mise en place de la distribution de l'application demandait des coûts importants pour assurer la sécurité des paiements et éviter des copies de l'application.

Apple n'est pas reconnu pour être un modèle de philanthropie, de nombreux défenseurs du logiciel libre pourrait vous expliquer que l'ouverture des systèmes n'est pas dans leur priorité et que sur ce plan l'AppStore est une belle illustration. La plateforme de distribution est fermée au possible, bloquant les contournements pour éviter que les commissions de la firme à la pomme ne s'envolent. Tout cela pour bien vous faire comprendre qu'Apple agît bel et bien dans son intérêt financier le plus direct : empocher un maximum d'argent.

Mais parallèlement à cela, le couple iPhone/AppStore présente plusieurs aspects intéressants :

  • L'iPhone n'étant pas un ordinateur, les besoins des utilisateurs sont liés à cette différence, pour le moment les attentes se focalisent sur des applications ayant une seule utilité ;
  • Les applications sont vérifiées avant ajout, leur installation est simple puisqu'elle se limite à l'appui sur un bouton ;
  • Les applications sont à des tarifs accessibles grâce aux micro-paiements ;
  • Les applications sont toutes sur un pied d'égalité.
Ainsi les utilisateurs achètent plus facilement, l'application s'installe toute seule, le système de paiement est uniformisé et sécurisé et les applications ne coûtent quasiment rien. Du coup, on peut voir l'émergence d'un tas de petits acteurs qui se lancent et qui y gagnent plutôt bien leur vie. Tout cela, simplement parce que les gros acteurs ne sont plus les seuls à pouvoir garantir la qualité (qu'ils "garantissaient" traditionnellement par l'effet de marque) et ils ne sont plus les seuls à maîtriser un processus de distribution lourd et complexe.

Pour Apple, le gain est impressionnant puisque c'est l'idée géniale qu'il fallait pour pérenniser les revenus de l'iPhone (1 milliard de chiffre d'affaire pour 2009), c'est également une activité à très bonne marge : 30 % de commission sur la vente d'applications et des coûts très limités (principalement une équipe de validation des applications).

La main invisible dans le monde réel, c'est quand une grande firme comme Apple développe avec succès une plateforme dans ses intérêts propres mais qui en fin de compte permet d'ouvrir un marché énorme sur lequel le coût pour les nouveaux entrants est limités. Ainsi ce marché est hyperconcurrentiel au plus grand bénéfice des petits acteurs et des consommateurs.


jeudi 8 octobre 2009

Ça coûte combien un journaliste ?

Je pose la question comme ça, mais ça coûte combien un journaliste ? Ça coûte combien de les tenir par les couilles ?

Parce que :

  • le tourisme sexuel, c'est un euphémisme léger pour parler d'un pédophile qui va se taper de gamin, non ? Pour moi le tourisme sexuel, c'est lorsque que l'on choisit de partir à l'étranger pour pouvoir prostituer de la prostitution dans les pays où elle est autorisée ; et ça, ça ne me gêne pas forcément.
  • Une vieille affaire de moeurs c'est lorsque l'on vous poursuit pour des pratiques sexuelles pas acceptées par les lois, ceci exclue la pédophilie qui s'apparente plus à de l'abus sur la faiblesse des personnes et ceci exclue également le fait de droguer ces dernières avant d'abuser d'elles.


Un coup de pelle dans la gueule de Mitterrand

Il faut le reconnaître la situation dans laquelle se retrouve Mitterrand n'est pas la preuve d'un beau système bien huilée, l'ouvrage où Mitterrand raconte comment il racontait les milles et une nuits aux petits éphèbes qu'il croisait date de plusieurs années. Il a certainement fait du bruit à sa sortie mais alors tout le monde s'en foutait.

Dommage collatéral de l'affaire Polanski. L'affaire ressort et éclabousse. L'UMP n'arrive pas à lâcher le morceau sur ce point, ils aiment les pédophiles ! Remarquez bien qu'entre la dette et le reste, ils vont avoir mal au cul les petits français.

J'ai quand même du mal à croire que notre sinistre de la culture s'en sortira indemne.

Quand j'écoute les infos sur le sujet, un sourire sadique déforme mon visage... Désolé je n'y peux rien, mais après avoir vu cette graine de fasciste se foutre de la gueule de l'"utopie libertarienne", je ne peux que me réjouir quand je le vois se ramasser...


mercredi 7 octobre 2009

Seine Saint-Denis : urban parano

«Amel, mère de Leila est rassurée : l'entrée du collège est sécurisée»

Faut la comprendre Amel... elle habite en Seine Saint-Denis, et elle sait bien que pour oser sortir le soir il faut mieux être bien armée (ce qui est illégale) ou sacrément moche (oui c'est de la discrimination).

Du coup, elle a peur pour sa fille, faut la comprendre, elle doit se taper l'école publique de ce même département... L'état aimerait bien l'aider, mais la force publique est mobilisée dans des quartiers un peu plus sympathiques pour s'occuper de la population solvable qui oublie de payer un stationnement ou de mettre sa ceinture.

Du coup l'état transforme l'école en ces espèces de forteresses que l'on ne croise que dans les films aux scénarios post-apocalyptique => "Mais qu'est-ce qu'il y a dehors ? Des zombies ? Non, la Seine Saint-Denis." !

Naturellement en plus de pallier à son incompétence par des dépenses supplémentaires, l'état vous offre également une belle pub, c'est pour vous informer !

Trois articles qui peuvent intéresser le lecteur perdu sur celui-ci :


lundi 5 octobre 2009

Marketing cynique : Etam décape

Ma copine m'a ramené un cadeau Etam sachant qu'elle éveillerait ainsi ma curiosité. Une solution "Anti-Grisaille / Concentré de bonne humeur" :


Je me suis dit "ouahou, famille de France va bien allé brûler un magasin pour ça !". Je m'interroge quand même autour du sens de cette communication ; Etam c'est des fringues et de la lingerie pour une cible large, relativement jeune et prenant soin de son apparence.

Peut-être pas la cible première des marchands d'anxiolytiques, peut-être pas non plus des fans d'Huxley en manque de Soma. Tant mieux car les seconds sont je pense peu nombreux et les premiers prendraient l'humour de biais !

Un message de cynisme, peut-être un clin d'oeil à la cliente qui ne se prend pas la tête. Est-ce un Carpe Diem dissimulé dans une boîte de pilules ? En tout cas l'initiative est amusante et se démarque d'une énième réduction exclusive pour les clients WIP (prononcer wiiii-ail-pi) de 5%...


samedi 3 octobre 2009

Ils ne sont qu'amour !

La France se complait dans sa connerie et applique son 'traitement au cas pas cas' à tous ses amis.

Ne pourrais-je pas faire un effort ? Et écrire dans l'air du temps ? Il pourrait être bien vue de faire comme nos élites et de deviser sur le sens adéquat pour s'enfiler des enfants ? Ne pourrais-je pas être moi-même force proposition et proposer l'instauration d'un droit de cuissage avant l'entrée au primaire par le sinistre de la culture ?


La liberté ne peut pas échouer

Ils sont nombreux à se la jouer expert en économie et philosophie et à me raconter que le libéralisme, et donc la liberté, ont fait leurs temps et ont failli.

Mais le libéralisme est une non-idéologie, un non-dogme dans la recherche d'un on ne sait trop quoi qui serait formidable. A la différence d'autres approches prétendant apporter des solutions à l'économie et pourquoi pas au bonheur humain, le libéralisme ne veut pas imposer sa vision du monde aux autres, mais laisser chacun agir selon la sienne.

En supposant même que la crise ait pris corps dans un monde débridé, bercé de plus de liberté que d'impôts et autres politiques incitatives ; ce qui est blâmable n'est pas le système mais les hommes, le système en lui-même renonçant à fournir la recette idéale.

La liberté ne peut faillir car elle est une fin en soi.

Mais rassurez-vous ceci n'est que pure conjecture. La crise a bien débutée dans des institutions contrôlées par l'état et à tout de suite été prise en charge par des structures similaires, afin d'enrayer un quelconque risque systémique.

Rassurez-vous la solution bien ficelé que l'on vous vend à cette crise, c'est un monde encore plus rempli de parasites vivants sur le dos des autres, le vôtre probablement.

Rassurez-vous, on pense pour vous...

L'illustration vient d'ici


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