Survie et bénéfice

Dans le secteur privé la survie d'une entreprise est immédiatement lié au fait qu'elle produise ou non des bénéfices. Cette contrainte oblige à l'efficacité, qui produit des bénéfices arrive à satisfaire suffisamment de clients pour couvrir ses dépenses, par là l'entreprise vient répondre à un besoin et cela de manière efficace.

L'état et ses affiliés n'a aucune idée de ce qu'est un bénéfice sinon que l'inverse en est une dette. Par là comment peut-il avoir mesure de son efficacité ? D'ailleurs pourquoi s'y interresserait-il ? Le problème de la majeur partie des services publiques c'est que les gens qui en sont les décideurs n'en sont pas les usagés. Les transports en commun pues, on y double en général son temps de transport, la sécurité on en parle pas, mais la vrai question c'est est-ce que Sarkozy en a quelque chose à foutre par exemple ? Delanoë prend-t-il les transports en dehors des inaugurations ?

On peut tenir exactement le même nombre de considération avec la Sécurité Sociale. Quoi que si les choses s'arrangent bien il sera bientôt légal par jurisprudence européenne de dire à cet assistanat d'aller se faire foutre (voir le blog quitter la sécu).

Si cette absence d'obligation de rentabilité rassure du monde, il faut quand même tenir compte du fait, qu'à travers la volonté de gagner de l'argent le privé veut satisfaire un client. Sans cette motivation est-ce que l'on va être plus gentil vis à vis de l'usagé (c'est le terme approprié il paraît) ? Si oui pourquoi ?