Mais que vient faire le Drag'n'Drop à côté des lecteurs MP3 ?
A leur apparition les lecteurs MP3 n'étaient que de simples clés USB capables accessoirement de lire les contenus musicaux mis à l'intérieur. Mais quelques iPods plus tard, le concept avait été supplanté.
Quels arguments avait-on trouvé contre la simplicité ? Le prétexte fallacieux de référencer les musiques au sein de base de données interne pour permettre de trier par album, artiste et autre.
Le problème posé est que ces logiciels sont le plus souvent propriétaires, c'est-à-dire que le fonctionnement du logiciel et donc du transfert vers le lecteur MP3 n'est connu que du constructeur... Sachant que ce même logiciel n'est développé que pour Windows et en cas de bonne volonté sur Mac, les linuxiens sont un peu lésés.
Le phénomène est d'autant plus génant qu'il est répandu, et qu'aujourd'hui difficile de trouver un lecteur MP3 compatible avec Linux. Même si un équivalent d'iTune existe, je préfère m'en passer.
C'est donc en cherchant la perle rare que j'ai, trouvé au passage chez Sony (voir sur amazon - NW-DB105B), que j'ai découvert que le fait de pouvoir transférer ses musiques en manipulant le lecteur comme une clef USB était dorénavant dénommé sous le terme pompeux de Drag'n'Drop.
Vous savez à présent que chercher dans la description technique de votre futur lecteur MP3. Je signal au passage que malgré le mode de transfert, le lecteur se constitue lui-même une base de données d'artistes, albums et autres.
Je signale au passage que vous retrouverez dorénavant la plupart des articles informatique de Sulfure et contre-culture sur Génération Linux où je suis membre de l'équipe de rédacteurs.
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