Je ne peux m'empêcher de penser qu'un parallèle entre la religion des siècles derniers et la situation politique et social actuelle. Je pense qu'à une époque si la sécheresse menaçait les récoltes on se tournait vers Dieu. Aujourd'hui quand la conjoncture économique est mauvaise, on se tourne vers l'Etat.
Si Dieu ignorait les suppliques, l'invoquer revenait à ne rien faire. Or l'Etat existe, il a donc quelque chose qu'il peut faire, quelques simagrées, quelques allocations pour faire passer la pilule un temps. Mais l'argent ne pousse pas dans les caisse de l'Etat, il doit bien être pris ailleurs. Quand les pêcheurs français manifestent que demandent-ils ? De pouvoir continuer à exister ?
Le pris de cette subsistance ? Le financement par toute la France d'une activité qui n'est plus rentable face à la concurrence. Dans cette élan de solidarité, les principaux pénalisé sont les pays moins développés chez qui une pêche pour l'export pourrait être rentable. Le marché s'équilibre plus ou moins bien mais il s'équilibre, on ne peut appuyer sur un côté de la balance, sans que l'effet en soit ressenti ailleurs.
jeudi 22 mai 2008
La grève contre la prière
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Tags : politique
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