Syndicats en déclin

Nous entendons tous parler avec une fréquence affolante des partenaires sociaux, les syndicats le plus souvent. Ces partenaires sociaux qui négocient aux noms des travailleurs. Ces même syndicats qui ne regroupent même pas 20% de la population active.

Ils ne fédèrent pas car ils n'offrent rien de nouveaux, prostrés dans la révolution industriel et le combat du prolétaire contre le patron. Avec le taux d'ouvrier réel aujourd'hui en France, on voit tout de suite l'origine du problème.

De plus notre charmant pays démocratique ne permet pas à n'importe qui de créer un syndicat. L'offre reste donc aussi limité et les diables rouges conservent leur oligopole.

Ce matin j'ai vu que ces attardés sociaux avaient quelques difficultés à vraiment fédérer devant la préfecture de Cergy. 40 minutes de ce qui ressemblait à une manifestation à moins de 20 personnes dont au moins deux clochards du quartier... Le combat est dur pour défendre la veuve et l'orphelin.

Les syndicats sont à l'image de la France : figés, ignorants toutes notions de liberté et d'autonomie et dans l'expectative d'un renouveau, renouveau qui ne saura venir en faveur des existants. Ce sera un coup de grâce.